Le projet

 

Encore Encore plonge dans l’été à Correns (Provence) pour un joyeux grand écart entre différentes familles musicales. Sous les cigales tu trouveras le boulodrome cosmique et le dancefloor passion en passant par le hip-hop et R’n’B non-stop et sans oublier non plus les expérimentations ambient pour écoute allongée la tête dans le buisson. Un festival fabriqué en DIY et circuits courts, légumes tendres et vin du coin. La tentative d’un espace-temps love et mixte avec des artistes grand cru région Sud et cépages européens, producteur.ice.s agricoles locaux, publics ruraux et urbains venus d’ici et d’ailleurs.

 

Le projet veut proposer une réflexion autour de la possible durabilité d’un événement artistique culturel aujourd’hui et ses liens au territoire, avec des artistes qui soutiennent et alimentent l’esprit du festival. Correns est un des plus jolis endroits de la Terre, mais ce n’est pas uniquement pour ça qu’on l’a choisi. Un des fondateurs du projet y a passé une partie de son enfance et entretient des liens fort avec le village.

 

Encore Encore fait partie de COFEES, collectif des festivals eco-responsables et solidaires en Région sud. Les différents modules scénographiques n’existeraient pas sans le soutien ++ de la Réserve des arts à Marseille et vraiment merci.

Nos engagements

 

Ce festival est encore un peu nouveau ! C’est toujours perfectible mais on sait dans quelle direction on veut aller. On est ouvert.es aux suggestions et aux idées d’amélioration : n’hésitez pas à nous écrire : hello[@]encoreencorefestival.com

Ce festival on le voulait :

ambitieux et accessible Une programmation de qualitey avec de la musique magique et des artistes excitant.es, de la nourriture délicieuse et issue de l’agriculture bioraisonnée, de forts engagements écologiques… et des prix doux !

aussi fabriqué avec et pour le territoire Ouvert à toutes et à tous, Encore Encore se souhaite aussi construit avec et pour le village, capable de mobiliser les différents interlocuteur.ices du territoire et d’ouvrir grand ses portes aux publics locaux via des temps d’échanges autour du programme, une tarification privilégiée et un projet de résidence d’artiste pour un travail in situ en lien avec des producteur.ices. Il est demandé de respecter le calme des rues de Correns la nuit, et de ne pas y laisser des souvenirs qui mettent 1000 ans à se décomposer.

safe La Care zone est un espace de care qui se propose à la fois comme un stand de réduction des risques, un refuge, un lieu d’écoute et de discussion. Une safeline, dont le numéro est inscrit sur tous les bracelets des festivalier.e.s, permettra de joindre une personne pour solliciter de l’aide ou signaler des comportements problématiques : propos sexistes, racistes, LGBTQIphobes, gestes déplacés, agression sexuelle, bad trip et situation de soumission chimique… ou juste par envie de compagnie et de papoter.

paritaire Voilà normal.

le plus léger léger possible sur l’environnement. Gros dossier. Les décisions sont pesées et soupesées, et des compromis sont trouvés selon les principes suivants : Economie circulaire et durable. Nous achetons le moins de choses possible en fonctionnant au maximum sur le principe du partage, prêt et location d’objets et matériaux. Pour le reste nous choisissons nos prestataires et fournisseurs en fonction de leurs engagements.  Récup et réemploi. L’équipe scénographie et construction déniche des trésors dans les réseaux récup’ du spectacle vivant (bisous la Réserve des Arts à Marseille à qui nous devons tant) pour fabriquer des choses super en mobilisant le moins de matériaux neufs possible, tandis que l’équipe communication imagine le maximum de supports fabricables à la main à partir d’éléments de récup’ également (fanions et rubalises cousus main, signalétique peinte sur bâches et planches de récup’, etc)  Les déchets c’est, à terme, ambition Zéro – pour le moment c’est le moins possible. Déja, les éviter : nous faisons des efforts pour réduire les déchets générés par le festival. Nous utilisons un maximum de vaisselle lavable et réutilisable, à l’exception des plats destinés au public que, en raison d’un problème logistique irrésolu à ce jour, nous choisissons jetable mais compostable ou au moins recyclable. Le bar fonctionne avec des gobelets réutilisables prêtés et de récup. Il s’agit ensuite de trier les déchets grâce à des bacs et des colonnes de tri mis à disposition, et une Brigade Verte formée par Aremacs est mise en place pour accompagner les festivalier.e.s dans cette démarche. Nous bénéficions dans ce processus des conseils d’Ecosciences. Il s’agit ensuite de réemployer les déchets. Une réflexion est en cours concernant l’implantation durable d’un compost. Des cendriers individuels et collectifs sont mis à disposition, et leurs contenus sont recyclés pour être valorisés énergétiquement. Le bar et la restauration proposent une carte composée de produits de saison, bioraisonnés et issus de la filière locale. Le vin servi vient de Correns et la bière d’Aix-en-Provence (Aqua Maltae). Des toilettes sèches qui sentent bon la sciure sont mises à disposition sur le camping et sur le site du festival. L’eau l’eau l’eau ! Conscient des problématiques croissantes autour des usages de l’eau, le Festival intensifie sa réflexion et ses efforts pour réduire au maximum le volume d’eau consommé dans le cadre du Festival.  Le transport. Afin de réduire l’impact et le coût des déplacements liés aux tournées, nous cherchons au maximum à éviter l’avion et proposons systématiquement aux artistes des modes de transports alternatifs, bien que ceux-ci soient plus longs et souvent plus coûteux. Aussi, des options de mobilité douce sont proposées aux festivaliers non-locaux pour leur venue : mise en place d’un groupe de covoiturage et de navettes. Niveau goodies ! En évitant la production de nouveaux objets ok ! Un stand de linogravure propose au public d’amener des tote bags, t-shirts… déjà possédés pour les décorer avec l’identité du festival. Une démarche évaluée que nous chercherons constamment à améliorer. Encore Encore compte parmi les signataires de la charte Drastic on Plastic qui vise à accompagner les festivals dans la réduction des déchets plastiques, et est heureux d’avoir depuis 2022 intégré Cofees, collectif de festivals eco-responsables et solidaires de la région Sud qui s’engage dans le partage de connaissances, la mutualisation des moyens et la réduction des impacts sur l’environnement. Nous procéderons à l’évaluation avec Natura2000 (syndicat mixte du Pays de la Provence Verte) des impacts sur les sites sensibles du Val d’Argens, et incluons à la Charte du festival communiquée aux artistes et publics une sensibilisation aux espaces protégés et l’incidence de la forte affluence sur des milieux naturels.

Ce festival est fabriqué par :

Le Laboratoire des Possibles

 

À l’initiative du producteur marseillais Abstraxion, plusieurs amoureux.ses des musiques électroniques et arts nouveaux fondent à Marseille le collectif Laboratoire des Possibles en 2014 autour des soirées LAB. Il prend une nouvelle impulsion avec le lancement des soirées Mouillettes en 2018, puis avec le festival Encore Encore en 2020. Habitué des projets itinérants, le Laboratoire des Possibles organise ses soirées principalement avec et à la Friche Belle de Mai / Cabaret Aléatoire (SMAC – Scène de musiques actuelles) et l’Embobineuse (salle de concert alternative) et dans plusieurs autres lieux marseillais, chérissant ses partenariats privilégiés avec des structures telles que le Festival Actoral – Festival International des Arts et des Écritures contemporaines, Montévidéo, Printemps de l’Art Contemporain, la Cité des Arts de la Rue, le Festival de Marseille ou encore le Mucem. Au total, ce collectif à géométries variables compte une quinzaine de passionné.e.s qui partagent leur temps et leurs compétences pour imaginer des fêtes qui leur ressemblent.

 

le laboratoire des possibles sur instagram

 

les artistes invité.es depuis 2014
Abstraxion, Ada, Adi Shabat, Aleksa Alaska, Alessandro Adriani, Amato (The Hacker) (live), Ancient Methods, Ascendant Vierge, Aurora Halal, Axel Boman, Azo, Barker & Baumecker (live), Azu Tiwaline & Cinna Peyghamy, Ben Klock, Bicep (live), Boris, Brasure, Bufiman, Cain Muchi, Chloé, Cooper Saver, Coucou Chloé, Crame et Reno le dj, Crystallmess, Daniel Baughman, DC Salas, Deepneue, Dekmantel Soundsystem, Delta Funktionen, Discodromo, Doucesoeur, Dr. Rubinstein, Elijah Simmons, Elkka (live), Elysée, Eris Drew, Errorsmith, Essaie Pas (live), Etapp Kyle, F/cken Chipotle, Fais Le Beau, Faka, Fantastic Man, Fort Romeau, Front de Crypte, Gerd Janson, Gesloten Cirkel, Gilb’R, Goldie B., Honey Dijon, Hivern Discs Night, Identified Patient, Inga Mauer, Jamie Tiller, Jem The Misfit, Jennifer Cardini, John Talabot, J.O.I., Juan Ramos, Kasper Bjørke, Kasra V, Khidja, Kim Ann Foxman, Kimberlaid, Kirill Shapovalov, Kleopatra Divine, Lena Willikens, Levon Vincent, Lion’s Drums, Lsdxoxo, Madalba, Magma Boyz, Massimiliano Pagliara, Matrixxman, Mila Dietrich, mobilegirl, Moesha13, Mona Servo, Mystique, Nanou le rdv, Nathan Surreal, nd_baumecker, Oklou, Oras Elone, Ostgut Ton Nacht, Panorama Channel, Paula Tape, Portable (live), Prosumer, RanXetrov, Ripperton, Roman Flügel, Reza Athar, Ripperton, Robert Hood, Roi Perez, Romeo Poirier, rRoxymore, Sara Dziri, Shyboi, Silent Servant, Steffi, Tama Sumo, Tasker, The Black Madonna, Vale Budino, Violet, Virginia, Vladimir Ivkovic, Volvox, Zozo

L’équipe Encore Encore

 

Programmation : Harold Boué
Coordination générale : Alice Fabbri
Production : Morgane Baer, Christophe Leroy, Pauline Mairone, Cyril Mouthier.                                          Communication : Léa Durand, Angeline Mafelly
Graphisme et web : Floriane Ollier
Presse : Violette Bianchi
Billetterie : Catherine Lesage
Scénographie et construction : Paul Gomez, Boris Lançon, Freddy Peretti, Benjamin Saint-Maxent
Accueil artistes : Boris Lançon
Régie générale : Freddy Peretti
Référente RSE : Morgane Baer
Cheffes cuisinières : Margaux Vendassi, Souhila Larabi
Vidéo : Camille D. Tonnerre
Renforcée pour le temps du festival d’une précieuse équipe de bénévoles <3 coordonnée par Léo Philippot-Maurice et Giulia Mattorre.